La capitelle de Ribes

En mars 2017, nous avions restauré la capitelle de Ribes. Une vingtaine de volontaires s'étaient retrouvés au cours des quatre journées nécessaires à la restauration de cet édifice.Cette photo a été prise par notre ami Pissou. Vivement que l'on puisse retourner en garrigue!

Une photo des Boulevards

Après la place de la Tournelle, une photo des Boulevards, prise à la même époque. Ici, les personnes sont photographiées à l’improviste alors que, la plupart du temps, elles posent pour le photographe. S'agissant du premier véhicule, ce pourrait un autocar. Les Boulevards, avec la rue Centrale, étaient alors le centre de la vie économique locale.

La période de confinement que nous vivons nous laisse du temps pour revoir d'anciennes publications comme cette image est extraite d'un livret édité par l'association, paru fin 2016. Il s'agit de l'actuelle place Jean Jaurès. À l'époque, il existe une station d'essence Esso devant ce qui est actuellement la boucherie. En face, on peut distinguer une enseigne Épicerie.Au fond, le bâtiment du poids public, la poste et le moulin qui deviendra la menuiserie Perrier. Au premier plan, deux enfants prennent la pose.

Restez chez vous!

Les institutions et tous les professionnels de santé le disent; restez chez vous pour vous protéger et sauvegarder la santé de vos proches! Vous pouvez en profiter pour rechercher dans vos archives des cartes postales, documents, livres anciens autour desquels nous pourrons discuter dans quelques semaines. Voici une des cartes postales les plus anciennes dont l'association ait une copie; une vue de Saint-Geniès, peut-être prise depuis l'actuelle avenue des Canebières. Elle a été postée en 1905. On remarque la voie ferrée et un train filant vers Nîmes. Dans le village, on distingue bien les principaux bâtiments comme le temple et l'église. Au premier plan, nous ne voyons que des cultures. Le village d'alors est essentielle agricole.

Report de notre matinée "Printemps de l'Environnement"

 Compte-tenu de la situation sanitaire, il a été décidé de reporter la matinée écocitoyenne du samedi 14 mars.

La matinée "Printemps de l’Environnement" en 2018

Notre matinée écocitoyenne en 2017

La visite de la station d'épuration de St-Geniès

Vu dans le journal Midi Libre du 8 mars:
Il est des lieux qui, par leur image, n’incitent pas à la visite. La station d’épuration est de ceux-là. Vendredi dernier, les adhérents de l’association Amphore ont pu découvrir ce lieu somme toute mystérieux. Encadrée par Olivier Bayle, technicien, et Estevan Diego, responsable territorial de la Saur, une quinzaine de touristes industriels a tout appris de cette installation. Les différentes phases des eaux usées ont été brillamment présentées par des guides passionnés et passionnants : prétraitement, dégazage, aération, clarification. L’originalité de cette station est la présence de lit à rhizophytes (roseaux) pour traiter les boues. Mise en service en 2001, elle a bénéficié en 2016 d’une presse à vis permettant la déshydratation des boues quand les roseaux sont moins vigoureux l’hiver. Les ennemis de la station sont les eaux pluviales et les lingettes. Poursuivant sa démarche en faveur de l’environnement, Amphore envisage de demander la visite de la station de pompage d’eau potable en 2021 et prépare la journée de nettoyage de printemps qui aura lieu samedi 14 mars.

Les femmes et les élections à Saint-Geniès

Le 8 mars, journée internationale des Droits des femmes est située à une semaine des élections municipales. À cette occasion, il est intéressant de rappeler la parité des hommes et des femmes aux élections est toute récente.En 1945, les femmes votent pour la première fois ; elles sont également éligibles. Au village, elles sont deux à devenir conseillères municipales ; Mme Paul André Boisson et Mme Auguste Dancan Velay. Les comptes-rendus de l’époque ne précisent pas leurs prénoms.À l’élection municipale suivante, en 1953, aucune n’est élue, même si deux femmes étaient candidates.

Et puis,plus aucune présence féminine pendant 24 ans, jusqu’en 1977. Cette année-là, trois listes sont présentes.

- Sur la première, emmenée par Robert Bourguet, figurent deux femmes : Annette Combarmond et troisième position et Armandine Pomo, en 12ème position. Aucun membre de la liste n’est élu.
- Sur la seconde liste, conduite par Jean-Pierre Bosc, ne figure aucune femme. Pourtant deux sont citées en tant qu’épouse de candidats en recherche de notoriété au village.
- La troisième liste est celle de Marc Noguier, lors de sa première élection. On retrouve la même pratique de certains candidats d’indiquer le nom de leur épouse.
En 9ème position se trouve Mme Martin Gérard, seule candidate de la liste et qui a choisi d’utiliser les nom et prénom de son mari pour figurer sur la liste.
C’est pourtant elle qui sera élue. Le compte-rendu d’installation du Conseil Municipal précise ses prénoms : Berthe Lucienne.
Il faudra encore bien des années pour que les femmes figurent en nombre sur les listes de candidature ; trois seulement en 1995.
Les lois récentes, au cours des années 2000, imposent la parité homme/femme.
Et encore ! Actuellement, le Sénat ne compte que 25 % de femmes. Le chiffre atteint 39 % pour des députées. Les femmes maires ne représentent que 16 % des élus… À Saint-Geniès, ce sont deux candidats hommes qui se présentent…

Printemps de l'environnement

Le printemps de l'environnement continue avec de très nombreuses rencontres autour de la distribution des sacs poubelle bleus et la préparation de notre matinée écocitoyenne du 14 mars prochain.

"On compte sur vous !"

Le cerisier de la garrigue de Saint-Geniès

Une dernière image avant la conférence de mercredi soir: celle d'un cerisier dans la garrigue de Saint-Geniès, pas très loin du maset de madame Rouquette. La photo date d'avril 2011. Depuis une paire d'années, ce bel arbre se meurt. Déjà âgé, il subit aussi le dérèglement climatique, les sécheresses extrêmes et les températures caniculaires qu'il ne connaissait certainement pas lorsqu'il a été installé dans ce coin de garrigue.