mardi 26 novembre 2019

Des routes toujours plus hautes....



En observant cette photographie réalisée vers 1900, nous pouvons apercevoir devant le temple, une marche d'escalier et des chasse-essieux assez importants.
L'image réalisée récemment montre que la marche d'escalier a disparu et que les "buto-rodo" chers à notre ami Pissou ont fortement diminué. 
En fait, la rue a été relevée du'ne bonne vingtaine de centimètres. Le chemin de terre a été goudronné. Il abrite aussi des canalisations et des égouts.
Un autre temps




mercredi 13 novembre 2019

La prise d'eau de la route nationale.

Notre village a souvent manqué d'eau.
Après les épidémies de choléra de 1835 et 1854, des travaux avaient été entrepris pour amener de l'eau de la garrigue à des bornes fontaines réparties dans le village. L'inauguration avait eu lieu en février 1868.
Quarante ans après, au début du vingtième siècle, la source de la combe du Cerisier se tarit peu à peu. Les habitants ne disposent, en été, que de 5 litres par jour.Des recherches débutent pour trouver de nouvelles nappes phréatiques adaptées au besoin du village.En 1909, il est décidé de construire un nouveau captage situé près de la route nationale.
Cette "prise d'eau" est toujours visible. Ce vieux bâtiment construit en 1914 et, au charme désuet, est laissé à l'abandon depuis de nombreuses années.Depuis quelques mois, un transformateur électrique tout neuf a été construit juste à côté de ce vieux bâtiment.
Ce nouvel équipement doit améliorer le maillage en énergie du territoire, évitant les coupures électriques. Équipement bien utile certes, il n'est implanté qu'à quelques mètres seulement de notre ouvrage vénérable.
Ces deux édifices, situés à l'entrée Est du village, sont peut-être à son image: très moderne ou plus ancien selon les quartiers où l'on se trouve.