La capitelle de Mayol, dite du Piémontais, sur le serre des
Cardayres, est un exemple de cette ruralité aujourd’hui oubliée.
Depuis plusieurs années, l’association AMPHORE, qui a déjà
restauré plusieurs de ces édifices, réfléchissait à la
restauration de cette cabane.
Il fallait débroussailler près d’un demi-hectare de chênes verts entrelacés par la salsepareille. Le coup de pouce a été donné par l’assureur et mécène de l’association. Cela permet l’acquisition du petit matériel nécessaire.. Une vingtaine de bénévoles a œuvré, en trois fois, pour rendre le terrain présentable, découvrir les ruines de la capitelle et de plusieurs enclos à moutons.
Ces opérations ont commencé à l’automne, la reconstruction est prévue dès que les conditions sanitaires le permettront.
Leur capitelle est l’une des fiertés de la famille Mayol quis’y
rend chaque année à Pâques. Dans les années 1920, alors que les
photos sont rares et réservées aux seuls événements d’importance,
un membre de la famille est photographié sur le toit de l’ouvrage.
Maurice Mayol se souvient, à la fin des années 1940, s’être occupé encore d’une trentaine d’oliviers près de sa capitelle.
Mais le grand incendie de 1976, la modernisation, la vie citadine, vont avoir raison de l’économie des garrigues, aujourd’hui reconvertie en terres de promenades.
Si nos projets de restauration de la capitelle de Mayol peuvent se concrétiser, nous espérons bien faire découvrir au plus grand nombre la construction restaurée à la fin de l’été.
À propos du nom de la capitelle :
L’histoire raconte que le géomètre, chargé de recenser les différentes parcelles, se présenta un jour sur le terrain de la famille Mayol. Il rencontre un ouvrier italien, peu familiarisé avec la langue de Molière et choisit d’appeler l’endroit : capitelle du Piémontais !
Il fallait débroussailler près d’un demi-hectare de chênes verts entrelacés par la salsepareille. Le coup de pouce a été donné par l’assureur et mécène de l’association. Cela permet l’acquisition du petit matériel nécessaire.. Une vingtaine de bénévoles a œuvré, en trois fois, pour rendre le terrain présentable, découvrir les ruines de la capitelle et de plusieurs enclos à moutons.
Ces opérations ont commencé à l’automne, la reconstruction est prévue dès que les conditions sanitaires le permett
Leur capitelle est l’une des fiertés de la famille Mayol qui
Maurice Mayol se souvient, à la fin des années 1940, s’être occupé encore d’une trentaine d’oliviers près de sa capitelle.
Mais le grand incendie de 1976, la modernisation, la vie citadine, vont avoir raison de l’économie des garrigues, aujourd’hui reconvertie en terres de promenades.
Si nos projets de restauration de la capitelle de Mayol peuvent se concrétiser, nous espérons bien faire découvrir au plus grand nombre la construction restaurée à la fin de l’été.
À propos du nom de la capitelle :
L’histoire raconte que le géomètre, chargé de recenser les différentes parcelles, se présenta un jour sur le terrain de la famille Mayol. Il rencontre un ouvrier italien, peu familiarisé avec la langue de Molière et choisit d’appeler l’endroit : capitelle du Piémontais !
Merci pour cette remise en valeur, il se trouve que j'ai découvert cette capitelle ce matin au hasard de mes promenades dans le bois des Lens
RépondreSupprimerBonne journée
S B